14 décembre 2009
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Je retranscris intégralement l'appel du groupe qui vient d'être créé sur Facebook sous ce titre :
"Aujourd'hui, la Quinzaine littéraire est dans une situation financière extrêmement préoccupante, et a fortement besoin d'être soutenue.
Réellement indépendante, la Quinzaine littéraire est avec quelques autres et très rares revues et certains sites web un des seuls organes prescripteurs de culture, en France et sur le terrain de la francophonie.
Depuis ses débuts en 1966, elle s'est attachée à parler des livres de tous horizons (lettres, arts, philosophie, psychanalyse, histoire... sciences politiques, économie, poésie) sans penser à autre chose qu'à ces livres : l'apport singulier de ces objets de la pensée construits dans le temps avec du temps.
Elle leur a donné une visibilité, et contribué avec détermination au cheminement de ces oeuvres vers leur lectorat.
Dans un paysage culturel dont la diversité ressemble plus à la démutiplication d'un écho, l'entreprise est héroïque.
Née de l'impulsion, de la volonté, et de la passion d'un homme : Maurice Nadeau.
La Quinzaine littéraire est arrimée à l'art, aux lettres... à la pensée, en ce sens qu'elle ne s'est jamais complue dans le marché de la culture. Elle n'a jamais fait dépendre son énergie, son dynamisme, d'une économie culturelle, mais - toujours - de l'engouement singulier d'un collaborateur pour un ouvrage, - de la nécessité de rendre compte de travaux qui s'élaborent dans un temps parallèlle, celui de l'écriture, - de l'intime conviction que cet ouvrage compte, doit peser, même comme une plume sur un cratère en éruption.
Quelques individus, noués pour un temps à une oeuvre jusqu'à ce que compte soit rendu, font entendre la voix de ces ouvrages, émis par le contemporain, seuls moteurs de la Quinzaine.
Avec Gilles Nadeau et tous les collaborateurs nous souhaitons sauver cette entreprise éditoriale - remarquable à tous points de vue, de sa disparition anticipée, trop précoce : nous venons glorieusement de fêter le 1000e numéro.
Surtout nous ne souhaitons pas laisser ce seigneur de l'édition qu'est Maurice Nadeau, orphelin de son oeuvre.
Alors, en participant à ce groupe, aidez-nous à sauver la Quinzaine littéraire, faites-la connaître autour de vous, achetez-là en kiosque (si vous ne la trouvez pas demandez à ce qu'elle y soit présente) abonnez-vous au journal ou à sa version en ligne qui vous donne accès aux archives de 40 ans de critique littéraire, artistique et scientifique. Bref, faites ce que vous pouvez, comme vous le pouvez pour ne pas laisser disparaître un journal qui mérite de vivre... pour que puisse vivre une culture véritable (au sens de gratuite, non soumise aux impératifs du marché et aux stratégies du marketing)."
On a déjà sauvé La Quinzaine ! On peut -on doit- encore le faire : il faut absolument S'ABONNER ! Tout de suite (voir l'encart p.15 du numéro 1005 qui vient de sortir) et OFFRIR DES ABONNEMENTS A SES AMIS, bonne idée pour les fêtes, non ?
Les abonnés ont le privilège de pouvoir télécharger depuis le numéro 796 : . Il y a plus de 40 000 articles en ligne, une mine d'intelligence et d'analyses indispensables...
Que serait le mois sans ses deux Quinzaine ???
"Aujourd'hui, la Quinzaine littéraire est dans une situation financière extrêmement préoccupante, et a fortement besoin d'être soutenue.
Réellement indépendante, la Quinzaine littéraire est avec quelques autres et très rares revues et certains sites web un des seuls organes prescripteurs de culture, en France et sur le terrain de la francophonie.
Depuis ses débuts en 1966, elle s'est attachée à parler des livres de tous horizons (lettres, arts, philosophie, psychanalyse, histoire... sciences politiques, économie, poésie) sans penser à autre chose qu'à ces livres : l'apport singulier de ces objets de la pensée construits dans le temps avec du temps.
Elle leur a donné une visibilité, et contribué avec détermination au cheminement de ces oeuvres vers leur lectorat.
Dans un paysage culturel dont la diversité ressemble plus à la démutiplication d'un écho, l'entreprise est héroïque.
Née de l'impulsion, de la volonté, et de la passion d'un homme : Maurice Nadeau.
La Quinzaine littéraire est arrimée à l'art, aux lettres... à la pensée, en ce sens qu'elle ne s'est jamais complue dans le marché de la culture. Elle n'a jamais fait dépendre son énergie, son dynamisme, d'une économie culturelle, mais - toujours - de l'engouement singulier d'un collaborateur pour un ouvrage, - de la nécessité de rendre compte de travaux qui s'élaborent dans un temps parallèlle, celui de l'écriture, - de l'intime conviction que cet ouvrage compte, doit peser, même comme une plume sur un cratère en éruption.
Quelques individus, noués pour un temps à une oeuvre jusqu'à ce que compte soit rendu, font entendre la voix de ces ouvrages, émis par le contemporain, seuls moteurs de la Quinzaine.
Avec Gilles Nadeau et tous les collaborateurs nous souhaitons sauver cette entreprise éditoriale - remarquable à tous points de vue, de sa disparition anticipée, trop précoce : nous venons glorieusement de fêter le 1000e numéro.
Surtout nous ne souhaitons pas laisser ce seigneur de l'édition qu'est Maurice Nadeau, orphelin de son oeuvre.
Alors, en participant à ce groupe, aidez-nous à sauver la Quinzaine littéraire, faites-la connaître autour de vous, achetez-là en kiosque (si vous ne la trouvez pas demandez à ce qu'elle y soit présente) abonnez-vous au journal ou à sa version en ligne qui vous donne accès aux archives de 40 ans de critique littéraire, artistique et scientifique. Bref, faites ce que vous pouvez, comme vous le pouvez pour ne pas laisser disparaître un journal qui mérite de vivre... pour que puisse vivre une culture véritable (au sens de gratuite, non soumise aux impératifs du marché et aux stratégies du marketing)."
On a déjà sauvé La Quinzaine ! On peut -on doit- encore le faire : il faut absolument S'ABONNER ! Tout de suite (voir l'encart p.15 du numéro 1005 qui vient de sortir) et OFFRIR DES ABONNEMENTS A SES AMIS, bonne idée pour les fêtes, non ?
Les abonnés ont le privilège de pouvoir télécharger depuis le numéro 796 : . Il y a plus de 40 000 articles en ligne, une mine d'intelligence et d'analyses indispensables...
Que serait le mois sans ses deux Quinzaine ???